Super Welter

Manager

Fais gaffe, j’ai pas peur
Je t’envoie mon manager
Fais gaffe à l’amour
Un week-end en solo
Un charter pour l’amour
Ça sonne comme la mort
Tu vois, tu vois
Bee pop a lula
Trop de blues dans nos combats
De lose, de dogme, de romans fleuves
Épuisés
Un low cost pour l’Enfer
Un low cost pour l’Enfer
Un pipeline traverse l’air
Sur les parkings, on attend
On attend comme des rats morts
Que le temps nous dévore
On attend attend attend attend
Fais gaffe à l’amour
Ça te tombe dessus un jour
Sans que tu aies pu rien y faire
Fais gaffe, j’ai pas peur
Je t’envoie mon manager
Fais gaffe à l’amour
Un week-end en solo
Un charter pour l’amour
Ça sonne comme la mort
Tu vois, tu vois
Bee pop a lula
Trop de blues dans nos combats
De lose, de dogme, de romans fleuves
Épuisés
Un low cost pour l’Enfer
Un low cost pour l’Enfer
Un pipeline traverse l’air
Sur les parkings, on attend
On attend comme des rats morts
Que le temps nous dévore
On attend attend attend attend
Fais gaffe à l’amour
Ça te tombe dessus un jour
Sans que tu aies pu rien y faire

Déjà vu
C’était quelle année déjà qu’on partait en vacances ?
Poussant la porsche blanche
Des paysages, des avalanches

Est-ce que je n’ai pas rêvé tout ça ?
Est-ce tu as vu le même film que moi, le même film que moi ?
Déjà vu…

C’était quelle année déjà où rien ne faisait mal ?
Ni brûlure, ni piqûre ?
Sous un ciel idéal

C’était dans quelle vie déjà les cris et les lois ?
Les voitures pour la folie ?
Et l’espace de tes bras ?

Est-ce que je n’ai pas rêvé tout ça ?
Est-ce tu as vu le même film que moi, le même film que moi ?
Déjà vu…

Et c’était quelle année déjà
On dormait avec le petit ?
Et des routes enlacées(…)

Est-ce que je n’ai pas rêvé tout ça ?
Est-ce tu as vu le même film que moi, le même film que moi ?
Déjà vu…

Et c’était quelle année déjà
On dormait avec le petit ?
Et des routes enlacées(…)

Est-ce que je n’ai pas rêvé tout ça ?
Est-ce tu as vu le même film que moi, le même film que moi ?
Déjà vu…

Voyageur Immobile

Je regarde par terre
Et le feu qui passe au vert
Les autres avancent
Suivent leur pente
Moi c’est plutôt

Voyageur immobile
A quoi je sers à qui je suis utile ? (X2)

Je reste au lit
C’est un bon radeau, et avec
J’apprendrai le sanskrit
On pourrait ouvrir une buvette
Suivre les faux prophètes

Voyageur immobile
A quoi je sers à qui je suis utile ? (X2)

Et je fume et je pense à vous
Derrière mes lunettes je pense à
« Y a tout à apprendre
A perdre son temps »
Ma montre est arrêté

Voyageur immobile
A quoi je sers à qui je suis utile ? (X2)

Voyageur immobile (X2)

Peut être

Je traîne les semelles sur le trottoir d’en face,
Je te r’tourne à droite et je te frôle,
T’as ton blous’ noir sur les épaules,
Comme un inconnu dans la glace,
Je plonge dans le métro, les murs de tôles,
La ligne neuf sur ta frange, ça fait drôle,

Peut être que je suis bizarre,
Peut être qu’il est un peu tard,
Et si j’étais bizarre,

Je traîne mais il y a du vent dans les branches,
Du chagrin mystérieux et des taxis fous,
J’oserai jamais te parler et je m’en fous,
Comme un chien perdu un peu sérieux,
Je traîne mes semelles, derrière mes verres bleus,
J’en grille une, ça calme, je suis fiévreux,

Peut être que je suis bizarre,
Peut être qu’il est un peu tard,
Et si j’étais bizarre,
Peut être qu’il est un peu tard,

Je traîne dans les rues de la modernité,
Dans mon train de banlieue bondé,
Je braque mon Canon sur ses cheveux noirs,
Pour la garder dans ma mémoire,
Je traîne avec ma chemise froissée,
A la station, où je l’ai croisé,

Peut être que je suis bizarre,
Peut être qu’il est un peu tard,
Peut être, j’étais bizarre.

Mariachi Blues

Je rentre chez moi,
Vitres noires fumées,
Dans le G7 envie de pleurer sur les fantômes d’Edith Piaf, d’Elvis Presley,
L’âge d’Or du passé.
Quand la voiture du tueur en folie arrivera, avec les Mariachi, ce qui arrivera, cette musique me trouble le coeur d’une vie de rêve.
Certains l’aiment à 200 à l’heure, dans les murs dans les ravins, d’autres révolvérisé les poumons, calaminé par le cow boy général malboro, fenêtres et gaz à tout les étages, la Seine coule gelée les Champs Elysées, tombés au champ d’honneur Jim, Vincent, Amy pour la vie.

Fallait-il qu’on l’aime ?
Ton bon vieux rock’n’roll.
Fallait-il qu’on l’aime ?
Ton bon vieux rock’n’roll.
Sur le chemin de l’école, certains ont construit cette ville. Certains ont construit cette ville.

Je rentre chez moi,
Vitres noires fumées,
Dans le G7 envie de pleurer et mon chien hurle à la lune sur la banquette arrière.
Quand la voiture du tueur en folie arrivera, avec les Mariachi, ce qui arrivera, cette musique me trouble le coeur d’une vie de rêve.

Fallait-il qu’on l’aime ?
Ton bon vieux rock’n’roll.
Fallait-il qu’on l’aime ?
Ton bon vieux rock’n’roll.
Et toi tu viens de loin.
Sur le chemin de l’école, certains ont construit cette ville.

Fallait-il qu’on l’aime ?
Ton bon vieux rock’n’roll.
Fallait-il qu’on l’aime ?
Ton bon vieux rock’n’roll.
Sur le chemin de l’école, certains ont construit cette ville.

Insensible

Quelque chose en toi
Quelque chose en lui
Qui nous mène tout droit
Jusqu’au bout de la nuit
Pas manger, plus dormir
Rêver et rire
Ne plus jamais souffrir( bis)

Se souvenir…

Toi, toi, toi que je préfère
De toutes les formes qui bougent sur Terre
C’est toi, toi, toi que je préfère
Toi
De tous ceux qui vivent sur Terre

Je m’accroche à toi
Je m’accroche à lui
Ton sourire est un flingue
Dans ce monde de dingues

Quelque chose en toi
Jusqu’à l’incendie
Renouveler l’insomnie
Tes premiers matins
Ou tout allait bien
C’était bon quand c’était toi,quand c’était toi

Toi, toi, toi que je préfère
Toi, toi, toi
De toutes les formes qui bougent sur Terre
C’est toi
Le Tropique du Cancer
De toutes les formes de la Terre
C’est toi, toi, toi aujourd’hui comme hier
Toi, toi, toi
C’est toi que je préfère, préfère
C’est toi
Tropique du Cancer
Du haut du Belvedère

Se souvenir…
Que je préfère
De toutes les formes qui bougent sur Terre
Toi, toi, toi que je préfère
De tout ce qui bouge sur Terre

Toi, toi, toi que je préfère, préfère
De tout ce qui bouge sur Terre

C’est toi
Qui bouge sur Terre (bis)

De quoi avons-nous peur
Les flammes n’ont pas peur de mourir (bis)

Asphalte

J’ai marché sur ta peau sur ton asphalte
J’ai marché, j’ai dansé sur ton cuir épais
J’ai marché sur tes lignes, marché sur tes croix
Et mon cœur battait plus vite que mes pas
Tu connais mes bons jours, mes mauvais côtés
J’ai marché sur tes boulevards dans tes coins bizarres
Mais pas toujours très droit

Moi, moi, moi,
Je cherche ma place dans tout ça
Au milieu du trafic
Des files de mauvais gars
Toi, toi, toi
J’ai marché en rêvant à toi
En répétant ton nom…
En répétant ton nom…

J’ai marché sur des tapis de feuilles, de neige
Embrassé des statues
J’ai marché en nageant sous des torrents de pluie autour du periph’
J’ai marché à l’asthme étouffant dans la nuit
J’ai marché au Walkman
Cobain hurlait dans mon crâne “laissez faire le hasard”
Je me suis saoulé et battu dans tes bars

Moi, moi, moi,
Je cherche ma place dans tout ça
Au milieu du trafic
Des files de mauvais gars
Toi, toi, toi
J’ai marché en rêvant à toi
En répétant ton nom…
répétant ton nom…

(lala… lalalalala… lalala… lalala…)

Noire sérenade

Cette nuit je cherche une camarade pour oublier la débandade
Une amoureuse une garde malade
La vie se dévale s’escalade à Paris
Sous les colonnades cette nuit je parle au vent, aux arbres et je traîne mon cœur un peu nomade
Dans la banlieu noire de monde
Défiler d automobiles, tête chercheuse mobile
À Paris ss la menace de la nuit et tj a Paris
Sans Nouvelle de toi sans nouvelle de toi
je rentre dans leur première rade cette fille me lance son (?) mais y a devant un whisky.. Sérénade..
Je pourrais lui sortir toutes mes salades en vieille culotte et continuer la balade et Sans nouvelle de toi.. Et sans nouvelle de toi
Seulement (?)
Une tornade vole au dessus des balustrades
Moi menteur
Pathologique dernière stade ma cherie ce n’est qu’une passade et cette nuit je parle au vent au arbres
Sous une voiture de l ambassade je pourrais faire une glissade
J’ai pas vu la dernière des cartes j’ai pas vu la dernière rasade
Qu’on se lézarde la façade
Le soleil noir en ambuscade

Quand J’aimais Vraiment

Quand j’aimais vraiment
Tout semblait bien différent
Les petits mots tous bleus
Chantaient comme des trompettes
Le soir s’éclairait
Comme une allumette
L’air était plus bleu
Et beaucoup plus léger

Je me suicidais vraiment
Quand je t’aimais vraiment(bis)

Quand j’aimais vraiment
Le monde chantait par instant
Les autos stupides leur roulement
Les oiseaux affolés
Les rails du métro
Sentaient l’herbe brûlée mais pas trop
Et les ouvriers sur les bancs
Souriaient en travers

Quand j’aimais vraiment
Je ne savais pas ce qu’être heureux ou pas
Je n’ai rien connu depuis toi
D’aussi amusant

Je me suicidais souvent
Quand je t’aimais vraiment(bis)